Tu as la flemme de cuisiner ?
Tu préfères recevoir un plat à réchauffer sans pouvoir changer la recette ?
Et puis, bon courage pour enlever les olives avant la cuisson.
DELETE olives FROM pizza;
Error 400, bad request ?
Et puis, on t’a dit de faire tes propres surgelés pour personnaliser ton plat.
Tu as commandé un plat, tu l’as réchauffé un peu, juste assez pour avoir la possibilité de retirer les oignons (et là tu pleures). Tu recongèles le tout pour le réchauffer juste après.
Et puis tu te rends comptes que finalement, il manque de tomate, tu recommandes un nouveau plat, décongèles encore, ajoutes de la tomate et recongèles et réchauffes juste après.
Au final, mal de ventre.
Bienvenue chez les fous.
Serait-ce des dev frustrés, qui ne supportaient pas les sysadmin, qui auraient inventé docker pour les empêcher de toucher à leur affaire.
Est-ce un environnement virtuel réellement pratique pour de la production ?
Je préfère être maître à 100% de ce qui passe sur mon système sans me demander si le docker est à jour ou pas parce que l’environnement a été implémenté par des devs qui n’ont que faire de la prod à par ne pas être emmerdé.
Docker est utile si justement le but est que le dev maîtrise le déploiement à 100% et préfère faire le sysadmin à la place du sysadmin.
Sinon, oublie Docker et compagnie et travaille comme un vrai sysadmin.
Tu dois comprendre et maîtriser tes recettes d’installation. Pas de réchauffé ici.
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#puppet #linux #debian #infogerance